Universitaires : Enseignants et étudiants, tous niveaux, en sciences cognitives et dans les filières abordées par l’ouvrage : psychologie, anthropologie, linguistique, psychiatrie, archéologie cognitive, intelligence artificielle, modélisation, neurosciences, éthologie, philosophie.
Résumé :
Comment l’esprit a-t-il évolué ? Quelles fonctions biologiques remplissent les mécanismes psychologiques ? Pourquoi certaines de nos pensées se diffusent-elles plus facilement que d’autres ?
Il aura fallu attendre une époque toute récente pour envisager ces questions sous l’angle de la théorie darwinienne de l’évolution. Cette perspective connaît désormais une véritable explosion dans les milieux scientifiques. La théorie de la sélection naturelle éclaire d’une manière inédite l’apparition de la moralité, le rôle du langage, les relations sociales, les maladies mentales, ou encore l’évolution culturelle. Dans cet ouvrage, psychologues, philosophes, linguistes, archéologues, éthologues, informaticiens, chercheurs en sciences sociales et en neurosciences présentent divers scénarios sur la façon dont les mécanismes mentaux ont pu émerger. Il s’agit là de la première synthèse interdisciplinaire sur l’évolution de l’esprit.
Jean-Baptiste Van der Henst est chercheur au CNRS. Il travaille au Laboratoire Langage Cerveau et Cognition (L2C2). Ses recherches portent sur le raisonnement humain et les mécanismes inférentiels.
Hugo Mercier est Docteur en sciences cognitives et travaille sur l’évolution des capacités humaines de raisonnement. Il a en particulier développé, avec Dan Sperber, l’hypothèse que le raisonnement humain a une fonction principalement sociale, et plus spécifiquement argumentative.
Jean-Baptiste Van der Henst est chercheur au CNRS. Il travaille au Laboratoire Langage Cerveau et Cognition (L2C2). Ses recherches portent sur le raisonnement humain et les mécanismes inférentiels.
Hugo Mercier est docteur en sciences cognitives et travaille sur l’évolution des capacités humaines de raisonnement. Il a en particulier développé, avec Dan Sperber, l’hypothèse que le raisonnement humain a une fonction principalement sociale, et plus spécifiquement argumentative.